Assistante dentaire et maman de 3 grands enfants, Marie Scannella est tombée dans l’écriture un peu par hasard, en voulant prouver à son fils qu’on pouvait être un héros sans forcément avoir de super pouvoir. C’est ainsi qu’elle a écrit son premier roman. Dans Nuits assassines sorti en 2012, il est question de rêves prémonitoires ou plutôt de cauchemars. Elle a adoré l’exercice et les critiques étaient bonnes, elle a donc continué avec un second roman : Les berceaux vides, sorti en 2016, qui est plus personnel ; elle y raconte une version de ce que pourrait être la fin de l’humanité (selon elle). Elle publie ensuite Cellule 249 en 2021, dans lequel on suit Ludivine, condamnée pour infanticide.
Ses romans n’ont aucun lien entre eux, elle écrit sur l’idée qui germe dans son esprit et qui la stimule. Elle aime la psychologie, les âmes meurtries et se sert du paranormal pour bousculer ses personnages.
Pourtant, dans son quatrième roman, Marie Scannella s’axe sur la psychologie, la manipulation, la trahison, les faiblesses de l’âme. C’est une histoire de hasard qui va bousculer le monde de deux personnes que tout oppose. Un choc de quelques secondes qui remet en question tout un monde bien établi.
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