En une phrase, comment résumeriez-vous votre livre ?

Mon livre, Le sang des cerisiers, est une aventure dans le Japon ancien et imaginaire, que l’on visite en compagnie de deux frères d’armes qui vont devoir se battre pour que la paix et la justice règnent.

 

Quelles sont vos sources d’inspiration ?

Plusieurs « univers » nourrissent mon imaginaire, tout ce qui touche au Japon d’abord (de l’art à l’histoire, en passant par les arts martiaux et les philosophies), mais aussi la philosophie, les sciences cognitives, l’art et l’Histoire en général… tout ce qui peut mener à la connaissance de l’âme humaine.

 

Faites-vous des recherches pendant l’écriture de votre ouvrage ?

Côté recherches, je possède beaucoup de livres, parmi lesquels des ouvrages sur le Japon (sur plusieurs thématiques : histoire, arts, artisanats, sociologie, philosophie, religion, romans classiques ou contemporains…) Hélas, ils sont en anglais et en français, mais je ne renonce pas à l’idée d’apprendre le japonais. Internet aussi est une belle source d’informations, à condition de pouvoir recouper ce qui est présenté sur certains sites avec d’autres sources. J’ai aussi quelques correspondants au Japon, qui répondent à mes nombreuses questions. Ce sont ces recherches qui m’ont permis de vêtir, de nourrir et de faire se déplacer, dans des décors précis, les personnages de mon roman, mais aussi de leur faire utiliser, par exemple, des outils particuliers, en accord avec la période choisie. Et le tout en prenant d’énormes libertés avec l’Histoire…

 

La bio complète de T.S. Ötli

Son polar : Le sang des cerisiers