Dans quel endroit et à quel moment de la journée préférez-vous écrire ?

Au moment de la rédaction, j’étais étudiant. Donc le moment tout désigné pour moi, pour écrire, c’était le soir après les cours, parfois jusque tard dans la nuit. Pour la petite histoire, j’ai écrit les premières lignes d’Hypercube entre 4 h et 5 h 30 du matin.

 

En une phrase, comment résumeriez-vous votre livre ?

Hypercube est un thriller fantastique jeune et dynamique, dont le héros apprend à maîtriser son don de lire dans les pensées pour lutter contre la criminalité.

 

Comment avez-vous choisi le titre de votre ouvrage ?

Je désirais un titre simple, idéalement en un mot, et aussi que l’on retient facilement. « Hypercube » est un mot peu connu et se prononce bien. Quant au sens… Le titre du livre, en fait, ne renvoie pas à l’objet principal du roman (le Tesseract, cube en quatre dimensions qui confère le pouvoir de lire dans les pensées). En réalité, l’Hypercube désigne la dimension étrange qui mêle le temps et les pensées, et dont l’existence a rendu l’intrigue possible. J’aurais pu appeler mon livre « Tesseract », mais plutôt que de limiter le sens à un simple objet, je préférais prendre un terme qui symbolisait à la fois le fantastique de l’histoire, la cause des éléments perturbateurs et l’ensemble de l’environnement.

 

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